Cette fin d'année 2011 est particulièrement chargée pour mon équipe de rugby favorite. Samedi dernier, le MHR jouait son 4ème match de H Cup, à domicile, contre les Écossais du Glasgow Warriors. Évidemment, j'étais au stade du Manoir en cette fin d'après-midi glaciale pour y assister. Ce ne fut pas le match du siècle.
Étant donnés les résultats des deux premiers matchs dans cette compétition européenne, un nul contre Leicester et une défaite contre Bath, Montpellier a depuis deux rencontres sortie la H Cup de ses priorités. En effet, la semaine précédente en Écosse et samedi pour le match retour, le MHR avait laissé la plupart de ses cadres sur le bac des remplaçants, voire dans les rangs des spectateurs, avec les blessés. Thibaut Privas et Fufu ont d'ailleurs suivi l'intégralité du match, pas très loin de moi...
C'est donc avec une "équipe B" que Montpellier a joué ses deux affrontements contre Glasgow. Résultat : une défaite là bas et un nouveau match nul ici ! Au delà de ce mauvais bilan, il faut tout de même noter que cette "équipe réserve" a fait bonne figure. C'est notamment le cas de la charnière composée d'Eric Escande à la mêlée et d'Ilian Perreaux à l'ouverture, tous les deux 19 ans. En plus, Perreaux a plutôt bien assuré comme botteur (ci-dessus).
On peut dire que la relève est assurée !
Ceci dit, Paillaugue et Trinh Duc, les titulaires de ces deux postes n'ont pas vraiment de souci à se faire pour l'instant, même s'ils ont suivi les trois-quarts du match sur le bord du terrain (ci-contre) et que leur entrée en fin de match ne fut pas décisive. Paillaugue a même raté, à la toute dernière minute, la pénalité qui aurait pu donner la victoire à Montpellier. Mais ce n'est pas dans ses habitudes et on ne peut pas lui en vouloir. C'est la baisse de régime de l'équipe entière, en seconde mi-temps, qui est la cause du score final (13-13).
Bref, pour le MHR, il ne reste que deux matchs de poule dans cette coupe d'Europe et je pense que le seul objectif réaliste serait d'en gagner un afin de pouvoir inscrire une première victoire dans cette compétition.
Mais l'ambition de l'équipe est ailleurs, en Top 14. Après une remontée fulgurante au classement grâce à trois victoires consécutives, le MHR a envie de confirmer en cette fin d'année. Mais ce sera difficile, car pour Noël, vendredi 23 décembre à 21h, l'adversaire ne fera pas de cadeaux. Il s'agit de la meilleure équipe de l’hexagone, le champion de France en titre, celle qui nous a battu en finale l'année dernière, le Stade Toulousain. Bien entendu, je serai au stade pour encourager mon équipe contre ce gros morceau.
Et il faudra que je m'habille chaudement car samedi dernier, en fin d'après-midi, je suis sorti du stade frigorifié, alors je n'ose imaginer ce que ça va donner vendredi prochain en soirée. Et comme si cela ne suffisait pas, on enchaine le 31 décembre à 14h avec un nouveau match à domicile contre le Racing Métro (donc, vous risquez de bouffer un peu de rugby sur ces pages dans les jours à venir...). Celui là non plus, je ne vais pas le rater. En effet, en 5 saisons de présence régulière au Stade, c'est la seule équipe que je n'ai jamais réussi à voir jouer. Ce sera donc une première pour moi. Une mise en bouche pour le réveillon !!!
Pour conclure, je vous propose, comme à l'accoutumé, quelques photos prises lors du match.
Prêts, les gars ?
Je la saute ou je la saute pas, la passe ?C'est donc avec une "équipe B" que Montpellier a joué ses deux affrontements contre Glasgow. Résultat : une défaite là bas et un nouveau match nul ici ! Au delà de ce mauvais bilan, il faut tout de même noter que cette "équipe réserve" a fait bonne figure. C'est notamment le cas de la charnière composée d'Eric Escande à la mêlée et d'Ilian Perreaux à l'ouverture, tous les deux 19 ans. En plus, Perreaux a plutôt bien assuré comme botteur (ci-dessus).
On peut dire que la relève est assurée !
Ceci dit, Paillaugue et Trinh Duc, les titulaires de ces deux postes n'ont pas vraiment de souci à se faire pour l'instant, même s'ils ont suivi les trois-quarts du match sur le bord du terrain (ci-contre) et que leur entrée en fin de match ne fut pas décisive. Paillaugue a même raté, à la toute dernière minute, la pénalité qui aurait pu donner la victoire à Montpellier. Mais ce n'est pas dans ses habitudes et on ne peut pas lui en vouloir. C'est la baisse de régime de l'équipe entière, en seconde mi-temps, qui est la cause du score final (13-13).
Bref, pour le MHR, il ne reste que deux matchs de poule dans cette coupe d'Europe et je pense que le seul objectif réaliste serait d'en gagner un afin de pouvoir inscrire une première victoire dans cette compétition.
Mais l'ambition de l'équipe est ailleurs, en Top 14. Après une remontée fulgurante au classement grâce à trois victoires consécutives, le MHR a envie de confirmer en cette fin d'année. Mais ce sera difficile, car pour Noël, vendredi 23 décembre à 21h, l'adversaire ne fera pas de cadeaux. Il s'agit de la meilleure équipe de l’hexagone, le champion de France en titre, celle qui nous a battu en finale l'année dernière, le Stade Toulousain. Bien entendu, je serai au stade pour encourager mon équipe contre ce gros morceau.
Et il faudra que je m'habille chaudement car samedi dernier, en fin d'après-midi, je suis sorti du stade frigorifié, alors je n'ose imaginer ce que ça va donner vendredi prochain en soirée. Et comme si cela ne suffisait pas, on enchaine le 31 décembre à 14h avec un nouveau match à domicile contre le Racing Métro (donc, vous risquez de bouffer un peu de rugby sur ces pages dans les jours à venir...). Celui là non plus, je ne vais pas le rater. En effet, en 5 saisons de présence régulière au Stade, c'est la seule équipe que je n'ai jamais réussi à voir jouer. Ce sera donc une première pour moi. Une mise en bouche pour le réveillon !!!
Pour conclure, je vous propose, comme à l'accoutumé, quelques photos prises lors du match.
Prêts, les gars ?
Je cadre, je déborde...
A vos marques, prêts...
Mamuka : "Euh, j'y vais, j'y vais pas ?"
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