Samedi, j’ai passé une excellente soirée avec quelques vieux amis (et des moins vieux). Après quelques mojitos, une excellent chili con carne et plusieurs verres de vin, nous nous sommes lancés dans une séance « revival 80’s », comme il nous arrive de le faire de temps en temps.La technologie évoluant, nous avons mis au rebut toutes les compils «Mega 80» et autres «Back to the 80’s» et avons opté pour Deezer, site qui a donné un nouvel essor aux soirées blind test. C’était vraiment très sympa, nous avons enchaîné les bons vieux tubes de Duran Duran, A-HA, Kajagoogoo et autres Pet Shop Boys… que du lourd.
Mais pourquoi ce besoin récurrent de se replonger dans l’époque des golden boys, de Ronald Reagan et de la Fuego ? Sans doute la nostalgie des premières boums, des premiers flirts, de l’insouciance… et puis, il faut quand même avouer que, si cette décennie n’a pas été très qualitative au niveau musical, elle a quand même produit une quantité phénoménale de tubes «pop» sur lesquels je prends encore plaisir à remuer mon popotin.
Là où je n’ai pas assuré, c’est que j'aurais du avoir la présence d’esprit de passer à mes amis un CD fabuleux que mon grand ami trifluvien m’a amené lors de sa dernière visite: The Lost Fingers «Lost in the 80’s». Ces trois québécois revisitent des tubes des 80’s à la sauce manouche, c’est du délire. Pour ceux qui ne connaitraient pas, je vous recommande cette version de "Pump up the jam", un vrai délice.
Une prochaine fois, je m’intéresserai aux 70’s puisque j’ai vu que Sylvain Cossette, programmé au FestiVoix, s’était spécialisé dans cette décennie. Avec autant de bonheur ??? Suspense...
Mais pourquoi ce besoin récurrent de se replonger dans l’époque des golden boys, de Ronald Reagan et de la Fuego ? Sans doute la nostalgie des premières boums, des premiers flirts, de l’insouciance… et puis, il faut quand même avouer que, si cette décennie n’a pas été très qualitative au niveau musical, elle a quand même produit une quantité phénoménale de tubes «pop» sur lesquels je prends encore plaisir à remuer mon popotin.
Là où je n’ai pas assuré, c’est que j'aurais du avoir la présence d’esprit de passer à mes amis un CD fabuleux que mon grand ami trifluvien m’a amené lors de sa dernière visite: The Lost Fingers «Lost in the 80’s». Ces trois québécois revisitent des tubes des 80’s à la sauce manouche, c’est du délire. Pour ceux qui ne connaitraient pas, je vous recommande cette version de "Pump up the jam", un vrai délice.
Une prochaine fois, je m’intéresserai aux 70’s puisque j’ai vu que Sylvain Cossette, programmé au FestiVoix, s’était spécialisé dans cette décennie. Avec autant de bonheur ??? Suspense...
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