Après Homme femme mode d'emploi le mois dernier, je suis retourné, ce week-end, au sympathique Kawa Théâtre pour voir une autre comédie, Le clan des divorcées.
Après avoir cartonnée à Paris, cette pièce est reprise dans toute la France. A Montpellier, le succès est également au rendez-vous. Il faut dire que c'est vraiment marrant.
Pourtant, je craignais que ce soit un peu caricatural et lourd. Et en fait, ça l'était carrément ! Mais on se laisse prendre par les situations comiques qui s'enchaînent et par les bons mots, pas toujours très fins mais assez efficaces.
Le cadre est assez classique. Trois femmes venant de divorcer partagent le même appartement ainsi que leurs désillusions et essayent de se remonter mutuellement le moral. Les trois personnages sont totalement aux antipodes les uns des autres. Il y a une bourgeoise parisienne, une anglaise délurée et surtout une "rurale" du sud-ouest au physique plutôt ingrat.
Un petit extrait de la version jouée à Paris :
Comme vous pouvez le constater, Brigitte, la divorcée "rustique", est interprétée par un homme. A Paris, il s'agissait d'Alil Vardar, l'auteur de la pièce. A Montpellier, c'est Bertrand Mayet, le directeur du Kawa Théâtre qui a repris le rôle et je dois dire qu'il est très très bon.
Les deux comédiennes qui l'accompagnent (Carole Bellanger, Nadia Tillier) sont également excellentes mais lui semble vraiment inspiré par ce rôle de divorcée rurale.
D'ailleurs, sans vouloir faire de chauvinisme, je trouve que, globalement, la distribution montpelliéraine est plus performante que l'originale.
Amis montpelliérains, si vous avez envie de passer un bon moment, je vous encourage à aller voir cette pièce qui est jouée jusqu'au 27 mars.
Après avoir cartonnée à Paris, cette pièce est reprise dans toute la France. A Montpellier, le succès est également au rendez-vous. Il faut dire que c'est vraiment marrant.
Pourtant, je craignais que ce soit un peu caricatural et lourd. Et en fait, ça l'était carrément ! Mais on se laisse prendre par les situations comiques qui s'enchaînent et par les bons mots, pas toujours très fins mais assez efficaces.
Le cadre est assez classique. Trois femmes venant de divorcer partagent le même appartement ainsi que leurs désillusions et essayent de se remonter mutuellement le moral. Les trois personnages sont totalement aux antipodes les uns des autres. Il y a une bourgeoise parisienne, une anglaise délurée et surtout une "rurale" du sud-ouest au physique plutôt ingrat.
Un petit extrait de la version jouée à Paris :
Comme vous pouvez le constater, Brigitte, la divorcée "rustique", est interprétée par un homme. A Paris, il s'agissait d'Alil Vardar, l'auteur de la pièce. A Montpellier, c'est Bertrand Mayet, le directeur du Kawa Théâtre qui a repris le rôle et je dois dire qu'il est très très bon.
Les deux comédiennes qui l'accompagnent (Carole Bellanger, Nadia Tillier) sont également excellentes mais lui semble vraiment inspiré par ce rôle de divorcée rurale.
D'ailleurs, sans vouloir faire de chauvinisme, je trouve que, globalement, la distribution montpelliéraine est plus performante que l'originale.
Amis montpelliérains, si vous avez envie de passer un bon moment, je vous encourage à aller voir cette pièce qui est jouée jusqu'au 27 mars.
Pour terminer, je vous propose d'écouter la chanson qui accompagne la pièce et dont on retrouve l'intro à plusieurs reprises.
Un très bon choix musical puisqu'il s'agit du fameux morceau de Big Joe Williams, Baby, Please don't go, rendu célèbre en 1964 par le groupe Them, du grand Van Morrison. On dit qu'un certain Jimmy Page aurait joué de la guitare avec Them sur ce morceau...
Un très bon choix musical puisqu'il s'agit du fameux morceau de Big Joe Williams, Baby, Please don't go, rendu célèbre en 1964 par le groupe Them, du grand Van Morrison. On dit qu'un certain Jimmy Page aurait joué de la guitare avec Them sur ce morceau...
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