Je sais, le titre de ce billet ne veut rien dire... mais je m'en fiche, je trouve ce prénom tellement beau, sans parler de l'artiste qui le porte. Et puis, lorsqu'on a la chance de voir Elisapie Isaac sur scène, on peut attribuer tout un tas de qualificatifs à ce prénom : douceur, charme, beauté, humour, sincérité, tous à la fois.
D'ailleurs, après une bon dîner avec mes amis qui repartaient à Saint-Jérôme (Snifff), ma journée de travail au FestiVoix a vraiment débuté en milieu d'après-midi lorsque Patricia, l'excellente rédactrice du Blog du FestiVoix, m'a dit : "Hey Yann, je m'en vais à Desjardins avec Nancy pour voir les essais son d'Elisapie, tu viens tu avec nous ?".
Evidemment que j'y suis allé, je ne voulais pas rater une belle occasion de voir cette artiste intéressante, sur laquelle j'avais fait un billet voilà quelques semaines.
Nous sommes donc tous les trois partis en kart pour rejoindre la beau site de la scène des Voix Multiples. J'adore ces promenades d'une scène à l'autre, surtout quand elles sont motorisées (je commence à avoir mal aux pieds...) :
Après avoir patienté une demi-heure en écoutant les musiciens régler la sonorisation de leurs instruments, nous avons vu la belle Elisapie monter sur scène pour les tests voix. C'est toujours génial de pouvoir assister à ce type de moments privilégiés, où l'artiste est naturel. Cela donne un avant goût du concert du soir... et là, l'avant goût était très positif.
Mais ce moment de bonheur fut de courte durée car un coup fil de Jean-Baptiste, responsable de la logistique, nous informait qu'un gros orage arrivait et qu'il fallait coucher toutes les chaises du site pour limiter le travail d'essuyage par la suite.
Allez, au boulot !!! C'est aussi ça le FestiVoix, réagir, s'adapter, se coller à des tâches un peu ingrates pour le confort des festivaliers. En un gros quart d'heure, Nancy, Patricia, Pascale, l'accompagnatrice d'Elisapie, le responsable du site et deux filles du bar et moi, avons retourné les centaines de chaises, tout ça en écoutant Elisapie. Le résultat était assez impressionnant, je dois dire.
Nous sommes rentrés au bureau juste à temps pour nous abriter. En quelques minutes, le ciel et le fleuve ont changé de couleur. Heureusement, le gros de l'orage n'est pas vraiment passé sur Trois-Rivières même, mais pas très loin. Des locaux du FestiVoix, nous avions une superbe vue sur le Saint-Laurent, le Pont Laviolette qui disparaissait petit à petit, et surtout les éclairs impressionnants.
La pluie n'a pas duré bien longtemps et toutes les équipes du FestiVoix ont prêté la main pour essuyer les chaises des sites extérieurs... job rapide, efficace, bravo à tous.
Quant à moi, je suis rapidement retourné à Desjardins pour ne pas rater le début du concert d'Elisapie. J'y suis resté une bonne heure et j'ai adoré ce que j'ai vu et entendu. Cette fille, venue du Nunavik, a vraiment un univers particulier.
Elle nous a raconté plein de belles histoires sur ses origines, sa vie, ses envies.
Voici un extrait de son concert, réalisé par l'excellente équipe de JayDance :
Elisapie nous a parlé de son admiration pour Leonard Cohen et nous a fait part de son rêve concernant ce grand chanteur. Elle regrette de ne pas être de sa génération. Si cela avait été le cas, ils auraient été amis, elle l'aurait amené dans le grand Nord chez ses parents. Sa mère lui aurait cousu un manteau en peau, son oncle lui aurait construit un igloo. Et comme on est beaucoup mieux à deux dans un igloo, Elisapie aurait rejoint Leonard...
Une bien belle histoire qui se termine par un hommage en chanson :
Elle a beaucoup parlé de sa région et insisté sur le fait qu'elle fait partie du Québec, contrairement au Nunavut.
Au bout d'une heure de show, la chanson que tout le monde attendait est arrivée, Moi, Elsie. Il faut dire qu'elle est superbe, composée par Pierre Lapointe sur des paroles de Richard Desjardins, deux grands artistes québécois. Une belle histoire d'amour.
Thomas et moi, sur le bord de la scène, étions complètement charmés par cette magnifique interprétation :
C'est à regret que je quittait vers 20h la scène Desjardins pour aller au bureau terminer mon article d'hier car j'avais pris beaucoup de retard.
Une fois cette tâche accomplie, je me suis rendu au Club FestiVoix pour assister au show de Maxime Landry. Je dois avouer que j'ai très vite compris que cet ancien gagnant de la Star Academy n'était pas vraiment ma tasse de thé.
Mais il en faut pour tous les goûts et visiblement, pas mal de monde a apprécié son spectacle, principalement basé sur des reprises, diverses et variées.
Quelques spectatrices du Club FestiVoix et des gradins VIP ont même été jusqu'à danser le madison, imitées par les gazelles du FestiVoix, Sarah et Jacinthe :
C'était ma première soirée sans l'ami Sam, reparti en France et j'ai eu une pensée pour lui, surtout quand Maxime Landry a repris le tube de Patrick Bruel, Casser la Voix. Désolé chers lecteurs mais c'est un private joke entre mon ami et moi. Je suis sûr que ça le fera sourire, n'est-ce pas Sam ? Si ce soir, j'ai pas envie d'rentrer tout seul..
J'ai tout de même passé une très bonne soirée. Surtout qu'une grande partie de l'équipe du FestiVoix est passée par là et c'est toujours agréable d'être avec la gang. Tous ces jeunes, dynamiques, sympathiques, motivés... un peu trop sérieux peut-être (il parait que leur boss lit mon blog).
Ils attendaient tous le tube de Maxime Landry, Cache-Cache, enfin, surtout les filles. Je préfère, quant à moi, vous proposer un extrait de son interprétation de C'est Beau la Vie, de Ferrat.
Il est toujours risqué de reprendre des artistes comme Ferrat mais cela me permet de faire une excellente transition avec le concert que j'attends avec la plus grande impatience, celui de Fabiola Toupin, ce soir à 19h sur la scène Desjardins.
Fabi avait en effet interprété magistralement cette superbe chanson l'année dernière. Mais ce soir, c'est son nouvel album, Quand l'amour bascule, quelle nous chantera. J'ai vraiment hâte d'y être.
Ensuite, place à l'hommage au Fab Four avec le cover band canadien, The Beatles Experience, sur la grande scène. Encore une bien belle soirée en perspective !!!
A demain !!!
D'ailleurs, après une bon dîner avec mes amis qui repartaient à Saint-Jérôme (Snifff), ma journée de travail au FestiVoix a vraiment débuté en milieu d'après-midi lorsque Patricia, l'excellente rédactrice du Blog du FestiVoix, m'a dit : "Hey Yann, je m'en vais à Desjardins avec Nancy pour voir les essais son d'Elisapie, tu viens tu avec nous ?".
Evidemment que j'y suis allé, je ne voulais pas rater une belle occasion de voir cette artiste intéressante, sur laquelle j'avais fait un billet voilà quelques semaines.
Nous sommes donc tous les trois partis en kart pour rejoindre la beau site de la scène des Voix Multiples. J'adore ces promenades d'une scène à l'autre, surtout quand elles sont motorisées (je commence à avoir mal aux pieds...) :
Après avoir patienté une demi-heure en écoutant les musiciens régler la sonorisation de leurs instruments, nous avons vu la belle Elisapie monter sur scène pour les tests voix. C'est toujours génial de pouvoir assister à ce type de moments privilégiés, où l'artiste est naturel. Cela donne un avant goût du concert du soir... et là, l'avant goût était très positif.
Mais ce moment de bonheur fut de courte durée car un coup fil de Jean-Baptiste, responsable de la logistique, nous informait qu'un gros orage arrivait et qu'il fallait coucher toutes les chaises du site pour limiter le travail d'essuyage par la suite.
Allez, au boulot !!! C'est aussi ça le FestiVoix, réagir, s'adapter, se coller à des tâches un peu ingrates pour le confort des festivaliers. En un gros quart d'heure, Nancy, Patricia, Pascale, l'accompagnatrice d'Elisapie, le responsable du site et deux filles du bar et moi, avons retourné les centaines de chaises, tout ça en écoutant Elisapie. Le résultat était assez impressionnant, je dois dire.
Nous sommes rentrés au bureau juste à temps pour nous abriter. En quelques minutes, le ciel et le fleuve ont changé de couleur. Heureusement, le gros de l'orage n'est pas vraiment passé sur Trois-Rivières même, mais pas très loin. Des locaux du FestiVoix, nous avions une superbe vue sur le Saint-Laurent, le Pont Laviolette qui disparaissait petit à petit, et surtout les éclairs impressionnants.
La pluie n'a pas duré bien longtemps et toutes les équipes du FestiVoix ont prêté la main pour essuyer les chaises des sites extérieurs... job rapide, efficace, bravo à tous.
Quant à moi, je suis rapidement retourné à Desjardins pour ne pas rater le début du concert d'Elisapie. J'y suis resté une bonne heure et j'ai adoré ce que j'ai vu et entendu. Cette fille, venue du Nunavik, a vraiment un univers particulier.
Elle nous a raconté plein de belles histoires sur ses origines, sa vie, ses envies.
Voici un extrait de son concert, réalisé par l'excellente équipe de JayDance :
Elisapie nous a parlé de son admiration pour Leonard Cohen et nous a fait part de son rêve concernant ce grand chanteur. Elle regrette de ne pas être de sa génération. Si cela avait été le cas, ils auraient été amis, elle l'aurait amené dans le grand Nord chez ses parents. Sa mère lui aurait cousu un manteau en peau, son oncle lui aurait construit un igloo. Et comme on est beaucoup mieux à deux dans un igloo, Elisapie aurait rejoint Leonard...
Une bien belle histoire qui se termine par un hommage en chanson :
Elle a beaucoup parlé de sa région et insisté sur le fait qu'elle fait partie du Québec, contrairement au Nunavut.
Au bout d'une heure de show, la chanson que tout le monde attendait est arrivée, Moi, Elsie. Il faut dire qu'elle est superbe, composée par Pierre Lapointe sur des paroles de Richard Desjardins, deux grands artistes québécois. Une belle histoire d'amour.
Thomas et moi, sur le bord de la scène, étions complètement charmés par cette magnifique interprétation :
C'est à regret que je quittait vers 20h la scène Desjardins pour aller au bureau terminer mon article d'hier car j'avais pris beaucoup de retard.
Une fois cette tâche accomplie, je me suis rendu au Club FestiVoix pour assister au show de Maxime Landry. Je dois avouer que j'ai très vite compris que cet ancien gagnant de la Star Academy n'était pas vraiment ma tasse de thé.
Mais il en faut pour tous les goûts et visiblement, pas mal de monde a apprécié son spectacle, principalement basé sur des reprises, diverses et variées.
Quelques spectatrices du Club FestiVoix et des gradins VIP ont même été jusqu'à danser le madison, imitées par les gazelles du FestiVoix, Sarah et Jacinthe :
C'était ma première soirée sans l'ami Sam, reparti en France et j'ai eu une pensée pour lui, surtout quand Maxime Landry a repris le tube de Patrick Bruel, Casser la Voix. Désolé chers lecteurs mais c'est un private joke entre mon ami et moi. Je suis sûr que ça le fera sourire, n'est-ce pas Sam ? Si ce soir, j'ai pas envie d'rentrer tout seul..
J'ai tout de même passé une très bonne soirée. Surtout qu'une grande partie de l'équipe du FestiVoix est passée par là et c'est toujours agréable d'être avec la gang. Tous ces jeunes, dynamiques, sympathiques, motivés... un peu trop sérieux peut-être (il parait que leur boss lit mon blog).
Ils attendaient tous le tube de Maxime Landry, Cache-Cache, enfin, surtout les filles. Je préfère, quant à moi, vous proposer un extrait de son interprétation de C'est Beau la Vie, de Ferrat.
Il est toujours risqué de reprendre des artistes comme Ferrat mais cela me permet de faire une excellente transition avec le concert que j'attends avec la plus grande impatience, celui de Fabiola Toupin, ce soir à 19h sur la scène Desjardins.
Fabi avait en effet interprété magistralement cette superbe chanson l'année dernière. Mais ce soir, c'est son nouvel album, Quand l'amour bascule, quelle nous chantera. J'ai vraiment hâte d'y être.
Ensuite, place à l'hommage au Fab Four avec le cover band canadien, The Beatles Experience, sur la grande scène. Encore une bien belle soirée en perspective !!!
A demain !!!
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