Je sais que nombre d’entre vous ont hâte d’avoir mes impressions sur le concept iDNiGHT, le «train discothèque». Et bien, je vais les décevoir et j’en suis désolé. Je suis monté dans le TGV à 23h47 et je me suis endormi sur mon bouquin vers 00h30, épuisé que j’étais après une semaine très très chargée.
Ceci dit, je ne peux pas vraiment dire que régnait dans ce train une ambiance festive. Tout le monde dormait et aucune annonce n’a été faite pour le wagon discothèque ou le wagon jeu. A vrai dire, j’ai des doutes sur l’existence de ces wagons…
Je définirais donc iDNiGHT de la manière suivante : c’est une façon peu onéreuse et peu rapide de rallier Montpellier à Paris, la nuit, sans couchette.
La notion de lenteur est assez prégnante puisque ce TGV s’est arrêté plusieurs dizaines de minutes dans des gares qui ne sont même pas sur le trajet normal (Avignon, Lyon Perrache…) dans le seul but de ne pas arriver trop tôt à Paris. Et malgré ce, il avait tout de même 10 minutes d’avance à la capitale. C’est la SNCF à l’envers !!!
Maintenant, je n’ai plus qu’à prendre mon mal en patiente puisque mon vol n’est que dans quelques heures (contrairement à ce que dit le titre de mon article, je vous l’accorde).
J’avoue que j’aime bien l’ambiance des aérogares (davantage à l’aller qu’au retour) même si celle d’Orly Sud est particulièrement pourrie. Certaines personnes courent, d’autres, en avance comme moi, tournent en rond, c’est marrant…
Mon avion ci-dessus.
Allez, je vous retrouve très bientôt de l’autre côté de l’Atlantique, à Montréal puis à Trois-Rivières pour le FestiVoix.
Ceci dit, je ne peux pas vraiment dire que régnait dans ce train une ambiance festive. Tout le monde dormait et aucune annonce n’a été faite pour le wagon discothèque ou le wagon jeu. A vrai dire, j’ai des doutes sur l’existence de ces wagons…
Je définirais donc iDNiGHT de la manière suivante : c’est une façon peu onéreuse et peu rapide de rallier Montpellier à Paris, la nuit, sans couchette.
La notion de lenteur est assez prégnante puisque ce TGV s’est arrêté plusieurs dizaines de minutes dans des gares qui ne sont même pas sur le trajet normal (Avignon, Lyon Perrache…) dans le seul but de ne pas arriver trop tôt à Paris. Et malgré ce, il avait tout de même 10 minutes d’avance à la capitale. C’est la SNCF à l’envers !!!
Maintenant, je n’ai plus qu’à prendre mon mal en patiente puisque mon vol n’est que dans quelques heures (contrairement à ce que dit le titre de mon article, je vous l’accorde).
J’avoue que j’aime bien l’ambiance des aérogares (davantage à l’aller qu’au retour) même si celle d’Orly Sud est particulièrement pourrie. Certaines personnes courent, d’autres, en avance comme moi, tournent en rond, c’est marrant…
Mon avion ci-dessus.
Allez, je vous retrouve très bientôt de l’autre côté de l’Atlantique, à Montréal puis à Trois-Rivières pour le FestiVoix.
Héééé c'est un avion CORSE Air !??? C'est bien la bas qu'on prendra notre retraite !!?
RépondreSupprimerEt oui... ils sont trop forts ces corses !!!
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