Comme je vous le disais précédemment, n’ayant pas pu me connecter correctement à Tadoussac, je poste cet article avec un peu de retard.
J’ai donc quitté Trois-Rivières, mardi matin, au volant d’un petit van Dodge (environ 6 mètres de long et 2,5 de large) et j’ai pris l’autoroute 40 pour Québec avec le dernier album de la charmante IMA pour me tenir compagnie.
Très Amérique du Nord cette vidéo, vous ne trouvez pas ?
J’ai décidé de ne pas aller à Chicoutimi car j’avais peu de temps devant moi et en plus il faisait carrément un tabarnak de temps de chiotte mardi dans l’est du Québec. En plus, je crois que j’ai idéalisé cette ville (son nom, ses belles filles…) et j’ai peur d’être un peu déçu.
Tant pis pour les filles du Saguenay-Lac-Saint-Jean. J’ai pu, en 10 jours à Trois-Rivières, constater que les trifluviennes étaient au top. Et je ne vous parle même pas des trifluviennes originaires de Chicoutimi (n‘est-ce pas Chantal).
Après 4h de route sous la pluie, j’ai enfin pris le bac (photo ci-contre) pour traverser le fjord du Saguenay et arriver à Tadoussac, la ville des baleines.
Ici, tout tourne vraiment autour des cétacés. S’il n’y avait pas ça, on se demande bien ce qu’ils feraient les habitants de cette région.
Comme je vous le disais dans mon mini article d’hier, dès mon arrivée, j’ai eu une petite mise en bouche en apercevant un groupe de bélugas à l’embouchure du fjord. Malheureusement, ils étaient un peu loin pour que je puisse prendre un photo correcte. Alors, je préfère vous montrer l’entrée du fjord du Saguenay, qui est vraiment superbe.
L’Auberge de jeunesse de Tadoussac est une vraie usine à routards. Très sympa, très vivante, mais il m’aurait fallu être un peu moins fatigué pour en profiter vraiment. Je la recommande aux fêtards (moi, j’ai décidé d’arrêter).
Après un 5 à 7 à la Boréale (la Molson Dry aussi j’arrête) et un souper très convivial avec un catalan de Gérone, deux françaises et trois québécois pure souche, nous avons eu droit à un concert de folk par un groupe local sur la terrasse de l’auberge (où il devait faire 5° !!!).
J’avoue que je n’ai pas tenu très longtemps. Après les 30 ou 40 concerts que je me suis enfilé au FestiVoix et l’ambiance qui y régnait, j’ai trouvé ça un peu… décalé. Disons que je n‘étais pas dans le trip.
Et puis, j’étais là pour voir les baleines et je voulais être en forme pour le départ en zodiac le lendemain matin.
Mais ça, c’est une autre histoire…
J’ai donc quitté Trois-Rivières, mardi matin, au volant d’un petit van Dodge (environ 6 mètres de long et 2,5 de large) et j’ai pris l’autoroute 40 pour Québec avec le dernier album de la charmante IMA pour me tenir compagnie.
Très Amérique du Nord cette vidéo, vous ne trouvez pas ?
J’ai décidé de ne pas aller à Chicoutimi car j’avais peu de temps devant moi et en plus il faisait carrément un tabarnak de temps de chiotte mardi dans l’est du Québec. En plus, je crois que j’ai idéalisé cette ville (son nom, ses belles filles…) et j’ai peur d’être un peu déçu.
Tant pis pour les filles du Saguenay-Lac-Saint-Jean. J’ai pu, en 10 jours à Trois-Rivières, constater que les trifluviennes étaient au top. Et je ne vous parle même pas des trifluviennes originaires de Chicoutimi (n‘est-ce pas Chantal).
Après 4h de route sous la pluie, j’ai enfin pris le bac (photo ci-contre) pour traverser le fjord du Saguenay et arriver à Tadoussac, la ville des baleines.
Ici, tout tourne vraiment autour des cétacés. S’il n’y avait pas ça, on se demande bien ce qu’ils feraient les habitants de cette région.
Comme je vous le disais dans mon mini article d’hier, dès mon arrivée, j’ai eu une petite mise en bouche en apercevant un groupe de bélugas à l’embouchure du fjord. Malheureusement, ils étaient un peu loin pour que je puisse prendre un photo correcte. Alors, je préfère vous montrer l’entrée du fjord du Saguenay, qui est vraiment superbe.
L’Auberge de jeunesse de Tadoussac est une vraie usine à routards. Très sympa, très vivante, mais il m’aurait fallu être un peu moins fatigué pour en profiter vraiment. Je la recommande aux fêtards (moi, j’ai décidé d’arrêter).
Après un 5 à 7 à la Boréale (la Molson Dry aussi j’arrête) et un souper très convivial avec un catalan de Gérone, deux françaises et trois québécois pure souche, nous avons eu droit à un concert de folk par un groupe local sur la terrasse de l’auberge (où il devait faire 5° !!!).
J’avoue que je n’ai pas tenu très longtemps. Après les 30 ou 40 concerts que je me suis enfilé au FestiVoix et l’ambiance qui y régnait, j’ai trouvé ça un peu… décalé. Disons que je n‘étais pas dans le trip.
Et puis, j’étais là pour voir les baleines et je voulais être en forme pour le départ en zodiac le lendemain matin.
Mais ça, c’est une autre histoire…
5°!
RépondreSupprimerahhhh sacré Saguenay!
Autrement, ne trouve tu pas que ce petit bistro a des airs du Zénob?
...sans Marie-Pierre Arthur, mais bon.
Oui, un peu mais le Zénob reste le Zébob. A l'auberge de Tadou, il n'y avait pas Fabiola (même si je me suis laissé dire qu'elle s'y était produite.
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